Ces malheureux ont peu d'espoir : s'ils parviennent à s'enfuir, ils risquent fort d'être capturés par les diables osseux qui se réjouissent d'avoir de nouvelles victimes à tourmenter et transformer en lémures.
Les tyrans raffinés et narcissiques que sont les efrits paraissent en comparaison un moindre mal. Mais ils ne ressentent aucune empathie même pour le plus zélé des esclaves : sitôt qu'il cesse d'être utile, un individu est livré au mieux aux flammes, au pire aux diables.
La bonne entente des efrits et des diables durera-t-elle ? Elle dépend avant tout de la certitude de chacun de pouvoir utiliser l'autre à son profit dans ses plans de conquête et de domination.
Un efrit par Gawain
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